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Ça y est, nous sommes face à limage des catalogues : des dunes de sables rouges à linfini ponctuées darbres asséchés. Cest fantastique, grandiose, rouge, il fait très chaud, cest une fournaise. Nous arrivons à la Dune 45, cest la plus haute dune de sable rouge du monde. Nous sommes minuscules devant ce monstre créé par la nature. Personne. Et si on grimpait ?
Pas cap
Et nous voici en train de boire, de senduire de crème et avec nos chapeaux (même Maureen), de partir à lassaut de cette montagne de sable. Cest dur de grimper quelque chose de mou, mais on ne mollit pas. Enfin presque
À la moitié, trois membres du Club déclarent forfait. Le soleil tape dur, le vent se lève, Maureen, du sable dans les yeux, continue encore quelques mètres. Du haut de la dune, Léo nous fait des signes
Il est le seul à y être parvenu
Chapeau ! |
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Les enfants ramassent un peu de sable pour Mamie et nous vidons nos chaussures denviron 1 kg de grains rouges. Ce nest pas fini, il faut continuer la route jusquau bout. Les dunes se succèdent sur des dizaines de kilomètres, le décor est irréel. Nous laissons enfin notre 2 roues motrices pour prendre un 4 x 4 et finir les derniers kilomètres. Les oryx nous regardent passer avec indifférence, les autruches aussi dailleurs, mais comment font-ils pour survivrent dans ce milieu hostile ?
Nous marchons maintenant, seuls dans cet océan de sable. Les garçons, sur la crête, testent la glissade et les filles savourent lombre sous un arbre salutaire. Un squelette danimal nous indique que le désert nest pas aussi fun que cela. Retour au camp à la tombée du jour où, je lespère, les parents pourront passer une meilleure nuit. |
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